Recherches

Cette page est consacrée aux recherches de nos sociétaires.

Pour répondre à une de ces questions, il vous suffit d'envoyer vos éléments à l'adresse contact@amis-musee-legiondhonneur.fr 

Question 2022-3

 

Louis Brun, l'un de nos sociétaires, demande de l’aide pour identifier les quatre lithographies ci-dessous. Il cherche à en déterminer l’époque de création, le contexte de création et quel en était le but final : récompense, souvenir,… ?

Question 2022-2

 

Laurent Jullien écrit actuellement, avec trois autres personnes dont deux sociétaires, un ouvrage sur les brevets de la Légion d’honneur et il nous a demandé de poster cette question afin de « solliciter les connaissances des lecteurs » : 

« Un sociétaire est-il en mesure d’identifier le graveur de la Grande Chancellerie qui se cache derrière le pseudonyme « Simon-50 » ? Ce graveur a notamment réalisé les brevets de la Légion d’honneur en couleur émis entre 1952 et 1956. Toute information aidant à l’identification de ce graveur sera la bienvenue. 

Réponse 1 à la question 2022-2

 

Laurent Chauvet, sociétaire que nous remercions vivement, a envoyé cette réponse :  

« La question relative à l’énigmatique « Simon 50 » dans la dernière lettre d’information de la SAMLHOC a retenu toute mon attention, et je pense avoir éclairci le mystère… À mon sens, il ne s’agit pas d'un pseudonyme, mais bien d'un patronyme suivi du millésime 1950 en version abrégée. Or dans les années 1950, un sculpteur et graveur répondant au nom de Simon était particulièrement actif dans le domaine des monnaies et médailles de table : Georges Simon.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Simon_(sculpteur)

En 1950, il a notamment présenté un modèle d’essai pour la pièce de 20 francs (où l’on voit qu’il signe de son seul patronyme) :

https://www.collectiondemonnaie.net/franceautres/concours/f020-1950/f020-1950-concours-simon.html.

Il y a donc de fortes chances que ce soit notre homme ! »

Question 2022-1

 

Lors de sa traditionnelle vente d’automne 2021, la maison allemande Bene Merenti a vendu une croix très certainement d’époque XVIIIe qu’elle a identifié comme … une croix de chanoinesse ! Sans remettre en cause la réputation de sérieux de cette maison bien connue, les spécialistes des croix de chapitre noble savent qu’il n’en est rien. Cette croix est néanmoins très belle. Qui percera son mystère ?

Réponse 1 à la question 2022-1

 

Éric Tripnaux, sociétaire que nous remercions vivement, a envoyé cette réponse :  

« Je reviens vers la croix « unis malgré l’envie » pour laquelle le site de la SAMLHOC demande l’aide des membres pour l’identifier.

Un exemplaire sans ruban a été proposé par Mes Ribeyre et Baron le 6 juillet 1993 (lot n° 76, estimation 3000-4000 FF).

Jean-Pierre Stella l’a décrite ainsi : croix dite « de mariage » fin du XVIIIe siècle en or médaillons centrés émaillés peints représentant, sur une face allégorie de l’homme et de la femme foulant le personnage de l’envie avec légende « Unis malgré l’envie ». Verso une femme auprès d’un arbre tenant un cœur à la main au-dessus de sa tête une main tenant une couronne de lauriers. Bijou d’une très belle qualité d’exécution. 40 x 40.».